Ron Weasley

VOTRE PERSONNAGE



Nom : Weasley

Prénoms : Ronald Bilius

Âge : 16 ans

Histoire (5 lignes minimum) : Dernier fils d'une fraterie exclusivement masculine, Ron se voit souvent charrier avec la fameuse phrase " tu sais, maman voulais une fille ! ". Il n'a, heureusement, rien d'une demoiselle. Il se révèle être un beau mélange de ses cinq frères aînés, bien qu'il faut reconnaître qu'il n'a rien tiré de Percy, si ce n'est un mépris certain pour les amateurs de livres. Evidemment, cette répulsion ne fera pas longtemps parler d'elle et s'éteindra définitivement lors de sa première année, où il rencontrera Hermione Granger, née-moldue qui deviendra sa meilleure amie. Les années défilent, toujours accompagné d'Hermione et Harry, celui-ci leur attirant certains ennuis qui ne sauraient être évités. Prenons pour exemple la Chambre des Secrets, où sa propre soeur à risqué sa vie, sans parler de la Pierre Philosophale, qu'il a fallut aller chercher dans les entrailles de Poudlard pour que, finalement, se soit nez à nez avec Voldemort que se retrouve leur orphelin d'ami. Si les deux autres années se passèrent sans dégâts majeurs ( la mort de Cedric Diggory et l'arrivée de Sirius Black exceptées ), c'est le temps des BUSES qui fut le plus marquant. En effet, après la nouvelle venue du corps professoral qui se révela tyrannique, ce fut au ministère que furent forcés de se rendre les adolescents, cette fois accompagnés de Ginny, Luna et Neville. Ces derniers se révèlerent particulièrement brillants, surpassant pour chacun des peurs dont le simple nom les effrayait. Au moment où les mangemorts avaient presque atteint leur but - récupérer la prophétie - l'Ordre du Phénix arriva enfin, leur triomphe laissant place à un moment d'égarement qui suffit à tuer Sirius Black. Une fois de plus, les doigts crochus de Bellatrix Lestrange n'avaient laissé personne indemne. Cicatrice et bras dans le plâtre, ils parvinrent tout de même tous à rentrer sain et sauf chez eux, bien que psychologiquement, ce ne fut facile pour aucun.

Description physique : Visage au teint pâle parsemé de tâches de rousseurs, Ronald Weasley ressemblerait plutôt à Bill, grand et mince. Les iris de ses yeux sont bleues, d'un bleu pastel, assez pâle. Il a beaucoup moins de tâches de rousseurs que ses frères ce qui les rend plus visibles, son air de mort vivant n'arrangeant rien à son allure. Dépassant Fred et George, il lui arrive de ne pas trouver de robe de sorcier à sa taille, du moins concernant la réserve de linge des Weasley. Le nez ni aquilin ni camus, on se contentera de dire que c'est un nez, un nez tout à fait normal, qui permet de respirer. Vous vous en doutez, ses cheveux sont roux, tout comme les sourcils qui surplombent un regard bien souvent vide.

Description morale (3 lignes minimum) : Ron se trouve assez troublé de son statut de dernier fils, ayant toujours l'impression d'être le mal-aimé, celui auquel on fait le moins attention. Il n'a jamais été capitaine au Quidditch, n'a jamais reçu la moindre récompense, et jamais ne s'attendrait à être nommé préfet. Il n'a pas l'humour de Fred et George, ni la force de Charlie, ni le charme de Bill, ni l'intelligence de Percy et encore moins les cheveux de Ginny. Non, il se contente d'avoir une loyauté sans pareille et de supporter les épreuves avec le caractère qu'il a. Le jeune homme est quelqu'un d'assez brusque, n'ayant pas le moindre tact envers les autres, fille ou garçon. Se revelant toujours partant pour enfreindre le règlement du château, il fait un bon complice et ne connait pas le mot délation. Il se trouve souvent gêné par son statut social, ce qui peut parfois le rendre envieux. Mis à part cela, un courage peu présent dans la vie de tous les jours se manifeste dans les situations périlleuses.


RP

Exemple de RP : [ c'est un RP, mais il ne raconte pas l'arrivée à Poudlard du perso ] [ je le poste, il est trop long ]




HORS JEU

Prénom ou pseudo : Ciàran [ si, si, ça se prononce après 7 lecture du code oral ]

Âge : 18, la liberté s'offre à moi [ et les factures aussi, youpi ! ]

Comment avez-vous découvert le forum ? J'étais sur l'ancien, toujours dans le même rôle :D

Comment le trouvez-vous ? Très bien :)

Code attestant que vous avez lu le règlement : /Code Vérifié\

RP [ il concerne un autre perso' et ne raconte pas son arrivée au château ]


Le ciel avait cette particularité de changer à sa guise, l'une des libertés qui lui avait été accordé à la création, lors de l'attribution des droits, il avait fait le choix d'être porteur des astres, des planètes et du soleil, mais il avait aussi exigé le droit de modifier leurs emplacements, laissant tout loisir aux hommes de s'inventer des sujets de débat, comme l'astronomie, la divination, les signes astrologiques ... Ce qu'ils étaient étonnants, ces êtres minuscules, se passionnant pour des choses si simples qu'ils prenaient un plaisir à compliquer *, bien sûr, tout le monde était d'accord pour dire qu'ils n'étaient plus si drôles quand on les voyait se tuer, les uns les autres, oubliant la solidarité que le créateur avait souhaité créer. Il avait souhaité l'harmonie, c'était la guerre, il voulait la fraternité, c'était les coups bas qui fusaient ... Bravo, monsieur ! Vous savez vous faire obéir ... Mouahaha, se faire obéir, ça devait être bien ... Commander quelqu'un, le voir nous obéir au doigt et à l'oeil, exercer sur lui une emprise despotique, avoir la satisfaction souveraine de toujours pouvoir compter sur un personnage servile forcé de nous servir. La belle vie ... Ces envies étaient propulsées par des troubles, comment une personne saine d'esprit pouvait-elle songer un jour à avoir sous ses ordres de pauvres gens qui n'avaient rien demandé ? Eh bien, Luna par exemple ... Evidemment, elle ne voulait pas en arriver aux mains, tuer, écraser, déglinguer moralement, mais avoir une emprise sur qui que ce soit ne l'aurait pas gênée.. Ce n'était pas sa préoccupation première, certes, m'enfin, heureusement, car parfois elle sentait cet aspect de son caractère remonter en elle, répondant à la question " Quel est ton plus grand rêve ? " - " Je veux diriger le monde ". Cela se déroulait quand elle ne se sentait plus bien, quand ses jours devenaient moins paisible que jamais, quand des souvenirs oppressants et inférieurs à toute humanité revenaient sollicité son intérêt. Elle les refoulait, elle cherchait à penser à autre chose, dans ses moments là, mais ce n'était pas toujours une tâche aisée. Tant et si bien qu'on pouvait parfois la surprendre la tête enfouie sous un oreiller, décidant de fermer son esprit aux mauvais songes ainsi qu'aux joncheruines. Lorsque tout paraissait aussi sombre, elle s'imaginait même que les créatures auxquelles elle vouait un culte n'existaient pas, n'étaient qu'une invention de son père, las de tant de sottise de la part de sa fille. Même Xenophilius devenait la cible de ses délires, elle se disait qu'il ne l'aimait pas, qu'il la détestait depuis la mort de sa mère, qu'il avait souhaité avoir un garçon, qu'il préférerait avoir un enfant doué et célèbre, tel Harry Potter. Ah, il n'avait pas de chance celui-là. Il avait toute une maison contre lui, devant subir les incessants quolibets aux croisements des couloirs, les railleries stupides des Serpentard, leurs vices qui échouaient, la plupart du temps. Viles et crétins, ceux-ci ne respectaient pas totalement les qualités requises pour être des verts et argent.



N'était-il pas recommandé d'avoir un minimum de ruse pour oser prétendre à l'écusson au serpent ? Crabbe et Goyle, par exemple, les deux imbéciles dont se flanquait Malefoy, étaient bien trop bêtes pour appartenir aux élèves de cette maison. Finalement, Poudlard perdait de sa valeur, au fil des années. Autrefois réputée à travers le monde, il semblait qu'elle dépérisse, ne faisant plus parler d'elle, se laissant envahir par l'imbécilité ambiante d'une certaine partie de ses étudiants ... La mélodie du vent sifflait toujours aux fines oreilles de Luna, comme une voix de soprano exagérant l'aigu, ne laissant rien entendre de son chant, trop occupé à lacérer les tympans innocents. L'air se mêlait avec fougue à sa tignasse blonde, l'emmêlant plus qu'elle ne l'avait jamais été, sans pour autant parvenir à s'accaparer l'attention de la petite Serdaigle. Elle avait l'esprit large, bien trop large pour s'intéresser à un fait si sordide. Des cheveux, elle en avait depuis des années, et du vent, elle en avait subi des bien plus violents. La beauté de la nature la fascinait, c'était vrai, mais seule les choses le méritant vraiment l'intéressait. Certes, on pourrait toujours reparler de ces fameuses dalles à pression, cette invention que lui avait inspiré les potirons, à qui elle avait voué un culte pendant quelques temps, enfin bon ... C'était une histoire vieille, tellement vieille ...



C'était du temps où elle ne vivait pas encore la moitié de l'année au château. Dans la maison déformée de son père, qui offrait un énorme jardin et une chambre exposée plein sud, elle jouait, innocemment, n'ayant pas l'envie de déranger son bon paternel, occupé à écrire des articles. Cette belle époque où, comme elle le pensait "un mot et tout est sauvé ,un mot et tout est perdu", son tuteur officiel prenait soin d'elle à un tel point qu'elle avait eut de la chance de ne pas finir capricieuse. L'enfant se balançait sur les couvertures épaisses de sa couche quand, d'un coup d'un seul, l'envie la prend et l'animosité habite son corps : elle veut sortir. Une fenêtre ouverte l'appelle et l'attire. Elle la contemple lentement et finit par sauter sur cette dernière, dont la vitre était toujours sur le côté. Ne prenant même pas conscience que sa dernière heure était arrivée, elle gesticulait mais restait silencieuse, voyant le vide lui tendre les bras, l'aspirer, lui donner cette soif d'adrénaline que rien n'épanchait ... Quand, au moment où elle devait toucher le sol, l'un de ces légumes coloré poussant dans le gigantesque potager de son père se trouva là et réceptionna l'inconsciente. Encore toute retournée, la fillette tourna de l'oeil sous le soleil de plomb, n'échappant point à l'insolation. En y repensant, Luna s'était mordue la langue, rappel trop exalté ou trop pénible, nous n'en savions pas grand-chose. Dans la totalité des cas, cette adorable sorcière ne serait plus ici pour tenir la jambe d'une Serpentard dépressive si cet étrange végétal ne s'était pas trouvé là. Comprenez la fascination qu'elle avait développé, enfin quoi, vous vous faites souvent sauver la vie par ce qui finit dans votre assiette ?


Ah, tenez, encore une anecdote : le soir, lorsque Xenophilius eut le soudain désir de manger de la soupe aux potirons, elle se précipita et s'allongea en travers du légume, interdisant à l'estomac affamé l'accès à l'aliment. Il ne lui demanda pas pourquoi, sachant déjà Luna loufoque à cet âge là, mais ne put s'empêcher de se faire des tas d'idées, de celle du prince charmant transformé en végétal orange à celle du sauveur magique, ignorant à vrai dire la mésaventure de sa fille. A ce jour, j'ignore moi-même totalement s'il le sait, ou pas, il faut dire que Luna ne tient pas de journal intime ...


Là, justement, elle fronça les sourcils en entendant parler l'autre fille. Visual Kei, Death Metal, ok, mais classique, qu'est-ce qu'elle voulait dire par là ? Rien n'était classique, rien n'était normal, puisque le classique rejoignait la normalité ! Bien sûr, pour les fourchettes, il y en avait une, elles avaient toute 4 dents et c'était tout, mais la musique ! Ces sons qui s'entre-laçaient, se mêlaient, influençaient les ethnies, certains ne jurant que par eux ... Les mélodies, animant les pieds, dilatant les pupilles, déstabilisant les sens, tant d'effets qui étaient loin d'être aussi peu nombreux que ceux des drogues et autres addictions, que l'on pourrait sans doute soigner à coup de séance d'écoute musicale. Luna, elle, jouait aussi d'un instrument de musique de sa propre invention. Elle l'avait baptisé le Flutare, une sorte de flute à cordes. Cela produisait un son non désagréable, mais dire qu'elle était aussi envoutante qu'un beau solo de flute à bec était un mensonge.


Oubliant tous ces sujets qui créaient des crashs dans sa tête, elle gratifia Aerith d'un sourire intéressé et répondit, reconsidérant les paroles prononcées plus tôt par la jeune fille au visage gelé par sa blancheur étonnante. Elle aimait donc lire, écouter de la musique, l'esthétisme, le dessin, le théâtre ... Beaucoup de points communs ! Une chose fit " tilt " chez la Serdaigle : elle aussi voyait les Sombrals. Qui avait-elle donc vu mourir ? Un proche, un ami ? En tout cas, Luna était d'accord avec elle, les sombrals étaient plus appréciables que les licornes, bien que celles-ci les surpassent par la beauté et la popularité. Surtout que, selon certain sorcier dont le cerveau était atrophié, voir un sombral était signe de malchance. Hé bien, Luna serait déjà morte de poisse ! Enfin, grimper au dos osseux de cet animal, elle ne l'avait fait que deux fois au cours de sa vie, ces deux précieux moments gravés à jamais dans son esprit ... Elle s'était sentie libre, libre d'une liberté toute autre que celle d'une société où le mot responsabilité est tout aussi présent, ce vol avait été une révélation, une vraie voie qui s'était ouverte à l'enfant : il lui faudrait un jour détenir son entière libération morale. Ah, adieu les obligations, bonjour l'union des quatre éléments qui vous sont tout ouïe ... Si la jeune fille connaissait des créatures peu fréquentes dans les bestiaires des premières et même troisièmes années, peut-être connaissait-elle quelque chose des Ronflak, Joncheruine et autres beaux phénomènes ? Elle tenta ...

- " Oh, moi, tu sais, j'aime à peu près tout, à part les ... Sans doute que tu trouveras ça idiot, mais je déteste les chaussettes rouges. Je ne sais pas depuis quand ça date, c'est comme ça, voilà. "

Elle se tut et retrouva le fil de ses pensées.

- " Oui, les Sombrals sont plus intéressants que les licornes, mais je ne les préfère pas. Mon coeur balance entre les Enormus à Babille et les Ronflaks cornus. Ils sont absolument géniaux. Leurs capacités sont si ... " elle s'apercevait de la perte de son oratrice " Tu vois ce que c'est, au moins, ces bêtes ? "

Elle ne se laisserait pas finir, hors de question, il fallait qu'elle ouvre sa grande bouche pleine de dents minuscules au bord ondulés.

- " Hé ... Tu réponds si tu veux, bien sûr, mais quelque chose me trotte dans la tête. Depuis quand vois-tu les Sombrals ? "

Elle hésita longuement. Ce n'était pas orthodoxe pour une première rencontre et encore moins relié au sujet dont elle parlait, mais elle ne pourrait pas s'empêcher de le savoir, par de grossières allusions ou par la question directe. Autant opter pour le direct ...

- " Et puis ... Si ça ne te gêne pas, pourquoi tu les vois ? Moi, j'ai vu mourir ma mère. C'était assez horrible, mais je m'en suis remise. "

Ouh, la menteuse ! Elle avait pleuré quelques minutes plus tôt ! Des mots qui pleurent et des larmes qui parlent ... S'en remettre ? Même Xenophilius n'y parvenait pas ! Enfin, elle n'était pas du genre à tout dire sur elle d'un coup, comme ça .. Deux minutes plutôt, dire ceci lui aurait paru impossible, mais elle savait qu'il lui faudrait un jour évoquer cela avec un ton de légèreté certain, et, dur comme fer, elle se persuadait que la sorcière ne la jugerait pas. Des cicatrices cachées semblaient présente dans l'âme troublée de la fille ... Qu'avait-elle ? Mystère et tête de gnome ...

Merci :D

Yep, je suis en train de faire l'ava ^^

Ok, prends ton temps =)

« Verrouillée »